Publications
Champs du Corps : une collection de l’AREPS
Collection dirigée par Jean Marvaud, aux Éditions de l’Harmattan
La collection « Champs du corps », fondée en 2011, se présente comme une suite d’ouvrages autour de la relaxation psychanalytique dans un esprit mobilisé par la clinique, l’enseignement et la recherche.
Chaque volume se donne un thème dévoilé par l’expérience, sans exclure d’autres perspectives. À la fois hétérogènes et convergents dans la diversité de leurs approches, les contributions présentées explorent les champs du corps en passant les frontières. Des textes plus courts, des notes, des comptes rendus renouvellent les interrogations.
À l’intérieur de mondes cloisonnés par les idéologies dominantes, Champs du corps est une invitation à l’ouverture, à la créativité et à l’écoute.
La relation à l’autre et le corps à corps ne cessent de questionner les sciences, la philosophie et la psychanalyse, dans la traversée de leurs théories et de leurs pratiques. Les différents écrits poursuivent cette interrogation en remontant aux sources des pathologies, dans le décryptage du langage du corps. Les sensations font souvenir et histoire. Elles prennent sens dans le champ psychanalytique qui est le nôtre. Approfondir les liens complexes du corps et de la psyché est une tentative exigeante dont ces volumes sont à la fois un intéressant exemple et un possible espoir.
Empreintes est le cinquième recueil de la collection « Champs du corps ».
Dans un mouvement à la fois souple et continu, les différents auteurs abordent la notion d’empreinte et de trace à partir de la singularité de leur pratique. Leurs textes, ponctués par quelques poèmes et citations, creusent le vaste champ psychanalytique mais aussi sociologique, artistique et scientifique.
Dans un monde en mutation accélérée où les idées se superposent et s’effacent simultanément, où les réponses standardisées déroutent le questionnement, la diversité d’approche de la notion d’empreinte nous enrichit.
L’empreinte est identitaire, elle met à jour l’origine, la fragilité et l’espoir. Elle est cette couleur uniforme déposée parfois par le peintre sur le fond de sa toile avant son avancée créative. L’empreinte est à la fois en creux et en relief, effaçable et indélébile.
Elle s’inscrit pleinement dans le champ du corps.
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La collection « Champs du corps » publie, après Traverse, Enfances et Rêve(rie) son quatrième recueil, La peau.
Les auteurs, à travers leurs textes, dans la diversité de leurs approches et de leurs pratiques abordent la peau comme enveloppe commune et singulière, comme un sens, le toucher, et comme une matière vivante en continuelle mutation.
La peau nous parle de l’intime et de l’universel, des avancées et des reculs de l’histoire humaine. Elle est à la fois mise à nu et cachée, offerte et défendue, vulnérable et enveloppante.
La peau reflète toutes les évolutions sociétales. Elle met en scène, à elle seule, les symbioses, les ruptures, les libertés muselées ou sans limites.
Ces textes, ponctués de citations poétiques, donnent à la peau des touchers singuliers et des proximités réconfortantes. Ils nous offrent un regard panoramique du monde vertigineux qui nous contient dans lequel l’approche de l’autre redonne à la peau toute sa dimension dans « le champ du corps ».
Février 2016
Rêve(rie) est, après Traverse et Enfances, le troisième recueil de la collection « Champs du corps ».
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Décembre 2013
Avec Enfances, la collection « Champs du corps », lieu d’échanges et de réflexion, propose de la curiosité, donne de l’appétit avec une grande liberté, celle existant entre théorie et clinique.
La thérapeutique par la relaxation chez l’enfant est-elle une discipline parmi d’autres qui a ses « spécialistes » détenteurs d’un savoir spécifique et d’un champ d’applications précis ? Doit-elle avoir le privilège terrible d’être partout ou bien nulle part ?
La relaxation de l’enfant, et avec l’enfant, vit de l’échange entre l’expérience clinique et la recherche théorique, entre la rencontre de faits, de phénomènes déroutants et la recherche de compréhension de sens, entre l’acceptation du corps, de ses symptômes et le réveil de l’infantile dans sa mémoire, ainsi que de l’ouverture de la voie de la pensée.
Une infinie variété des expressions de l’enfance serpente à travers les différents textes de cet ouvrage. Des souvenirs aux échos pathologiques, des fantaisies aux cas cliniques, le fil est continu mais libre d’entrée.
« Lorsque l’enfant paraît… »
Les textes de cet ouvrage font une référence directe ou implicite au questionnement sur la relaxation, l’enfant, l’infantile. Ils se mêlent, s’entrecroisent, se séparent, se rapprochent et tentent de répondre.
Si la relaxation a pour fondement l’attention portée au corps, qu’en est-il avec l’enfant ? Le corps pourra-t-il traduire, exprimer ce que la parole ne peut atteindre ?
Ces textes auraient pu prendre le risque de la répétition d’écrits existant ailleurs, ou celui de l’assimilation d’articles, ou surtout celui de l’imitation transposée de la relaxation de l’adulte, nous aurions alors parlé de relaxation chez l’enfant.
La relaxation de l’enfant a ses spécificités. Si la base théorique est psychanalytique, les fondements nécessaires s’adaptent à chaque rencontre qui demeure unique. Plusieurs méthodes existent. Il y a des différences dans les techniques, mais elles se rejoignent dans leurs aspects théoriques.
La relaxation de l’enfant inclut dans sa pratique et comprend dans sa théorie le jeu, le dessin, équivalents des associations de l’adulte. Ils traduisent et enrichissent le vécu des sensations qui, elles-mêmes, peuvent être « jeu ». Son cadre spécifique est lié au transfert où entrent le « corps à corps » et le jeu des deux partenaires, celui de l’enfant et celui du thérapeute. Le corps est sans cesse engagé. L’activité fantasmatique passe par le corps et reprend l’image du corps dans cette relation.
La relaxation de l’enfant met en évidence les liens aux premiers objets de dépendance, aide à l’établissement de la construction de l’identité de l’enfant (relation objectale, ambivalence des sentiments, développement libidinal et ses phases, identification et construction du moi). Elle permet de rejouer les phases très archaïques du développement. Dans une première réflexion, on pourrait penser que ce volume fait indirectement un bilan de ce que la relaxation psychanalytique apporte à la connaissance de l’enfant et qu’il invite à feuilleter, commenter, développer même, le classeur déjà chargé des problèmes spécifiques (théoriques, cliniques, techniques) que pose sa pratique. Cet ouvrage évite d’aborder ces aspects de manière répétitive et offre d’autres ouvertures à découvrir. Nous voulons, en effet, inviter le thérapeute à des interrogations plus radicales et l’engager à réfléchir soit à ce que la relaxation psychanalytique peut apporter directement à l’enfant, soit à mieux se rendre compte qu’il fait référence dans ses thérapies de relaxation de l’adulte, à l’enfant et à l’infantile et qu’il le recherche souvent.
Décembre 2011
« Traverse », premier recueil d’une collection appelée « Champs du corps », inaugure la présentation de textes autour de la relaxation psychanalytique dans un esprit mobilisé par la clinique, l’enseignement et la recherche.
À la fois hétérogène et convergent, cet ensemble, dans la diversité de ses approches, tente d’explorer les champs du corps et de passer les frontières. À l’intérieur de mondes cloisonnés par les idéologies dominantes, cette collection est une invitation à l’ouverture, à la créativité et à l’écoute.
La relation à l’autre et le corps à corps ne cessent de questionner les sciences, la philosophie et la psychanalyse, dans la traversée de leurs théories et de leurs pratiques. Ces textes poursuivent cette interrogation en remontant aux sources des pathologies, dans le décryptage du langage du corps.
Les sensations font souvenirs et histoire. Elles prennent sens dans lechamp psychanalytique qui est le nôtre.
Approfondir les liens complexes du corps et de la psyché, tentative exigeante dont ce premier volume est à la fois un intéressant exemple et un possible espoir.
Ouvrages publiés par l’AREPS ou travaux de ses membres
- Publications 2024
- Publications 2023
- Publications 2021
- Publications 2019–2020
- L’adolescent, son corps, ses « en jeux » (2018)
- Du contre-transfert corporel (2015)
- Quand le corps parle trop (2010)
- Des psychanalystes à l’écoute des sens (2010)
- Entre Mots et Toucher, le Corps en Transfert (2005)
- Le corps en relation (2003)
Entre corps et psychisme
Sous la direction de Fabien Joly
postface de Catherine Potel,
collection « A corps », Avril 2024
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Ouvrages de la Collection À Corps
Sous la direction de Catherine Potel, éditions Érès
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Psychomotricité et relaxation(s)
Sous la direction d’Aurore Juillard
avec la participation de Catherine Potel, In Press, collection « Cliniques Psychomotrices », Mai 2023
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Groupe(s) et psychomotricité : une corporéité qui fait lien
Sous la direction de Jérôme Boutinaud et Jean-Marc Orjubin
avec la participation de Catherine Potel, Editions In Press, collection « Cliniques Psychomotrices », Septembre 2023
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Revue Santé mentale n°282 Novembre 2023
Dossier : « La relaxation, entre détente et thérapie«
Plus de détails
Création de la collection À corps chez Erès, dirigée par Catherine Potel
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Le corps en relaxation. Des émotions sensorielles aux émotions primitives de l’être
Catherine Potel, Erès, collection À corps, Septembre 2020
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Dans l’eau, Pour une psychomotricité aquatique : théories et cliniques
Sous la direction de Catherine Potel, avec la collaboration de Anne-Marie Latour, Editions In Press
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Le corps en relaxation, Des émotions sensorielles aux racines primitives de l’être
Catherine POTEL, Eres, 2020
Plus d’information
Jamais sans mon portable ! Observation et contre-transfert corporel
Catherine Potel, Dans Journal de la psychanalyse de l’enfant 2017/2
Lire l’article
La peau et le toucher (thème et variations)
Jean Marvaud, télécharger l’article
Miroir, miroir, quand tu les tiens ! Le groupe de relaxation, une aide à la symbolisation ?
Catherine Potel, in Groupes et symbolisations, sous la direction de Hervé Chapellière et Didier Roffat, Eres, 2019
La méthode de relaxation Sapir
Astrid Roustang-Jeglot, revue Transes, Dunod, 2019
Qu’est-ce que la relaxation thérapeutique ?
Astrid Roustang-Jeglot, sur https://weppsy.com/blog/
L’adolescent, son corps, ses « en jeux » : Point de vue psychomoteur
Avec la collaboration de Jean José Baranes
Éditions In Press, 2018
Les adolescents qui vont mal utilisent leur corps comme porte drapeau de leur souffrance. Comment la psychomotricité peut-elle les aider ?
La psychomotricité pour les adolescents est aujourd’hui en plein essor, que ce soit en institution, en ambulatoire, en libéral. Psychiatres, pédiatres, psychologues, commencent à penser le travail d’expressivité du corps, de relaxation et de psychomotricité… comme de réelles indications de soin, et non plus comme des activités d’accompagnement.
Mais comment penser des médiations psychomotrices adaptées aux adolescents en souffrance ? Les adolescents qui vont mal utilisent leur corps comme porte drapeau de leur mal-être. Ce corps devient l’otage du désamour de soi, du désinvestissement, de l’aliénation addictive ; ou, au contraire, il devient ce manifeste bruyant de la revendication, de la provocation, de la maltraitance. Le risque ? Que s’ouvre alors le chemin de la destructivité ravageuse, des clivages, des fixations somatiques pathologiques…
Être écoutés dans leur corps, revisiter leur sensorialité, être soutenus dans l’investissement de ce corps en transformation : tel va être l’enjeu d’une psychomotricité adaptée. Les auteurs réunis dans cet ouvrage nous donnent à découvrir la richesse de leur pratique clinique et de leurs réflexions théoriques.
L’inventivité, l’énergie créatrice dont tous témoignent sont enthousiasmants et laissent augurer un vrai développement de la psychomotricité pour les adolescents.
Du contre-transfert corporel, Une clinique psychothérapique du corps
Quand le corps parle trop
Un groupe thérapeutique à médiation corporelle
Catherine Potel-Baranes
Numéro 54 de la Revue Psychothérapique Psychanalytique de Groupe, Juillet 2010
Résumé
En tant que psychomotricienne et thérapeute en relaxation analytique (méthode Sapir), je suis
toujours et avant tout à l’écoute du corps et de son langage. À l’écoute puisque, dès ma formation initiale, j’ai été habituée à organiser ma pensée thérapeutique à partir de ce regard particulier et spécifique sur le corps, considéré comme un puissant indicateur de la personnalité et de ses affects. Si j’emploie ce terme de langage, c’est bien en résonance avec le thème énoncé, point de départ de cette réflexion : « Le corps parle ». Or, parfois, cette parole du corps peut prendre de multiples couleurs : énigmatique, incompréhensible, insupportable, intolérable, muette, souffrante, douloureuse. Le psychanalyste écoute. La psychomotricienne que je suis écoute aussi, mais utilise son propre langage corporel, son propre appareil psychosensoriel comme résonateur d’émotions et terre d’accueil de toute une sensorialité projetée, expulsée, de ces enfants trop immatures ou insuffisamment construits pour pouvoir transformer leurs affects en pensée.
Je vais au départ de ce texte, poser quelques postulats théorico cliniques, qui viendront préciser le mode de fonctionnement des groupes à médiation corporelle, tel que je l’entends dans ma pratique. Et au travers d’un récit clinique, un groupe de trois enfants particulièrement difficiles, je soulignerai l’articulation fondamentale entre, d’une part, un enveloppement et une acceptation de la régression – inhérents à nospratiques corporelles –, piliers d’une « fonction maternelle » efficace, et d’autre part, l’appel à une triangulation nécessaire faisant référence à un tiers « paternel ».
Une articulation fondamentale dans un cadre thérapeutique où le corps est en position centrale, appuyée dans la réalité de notre travail par l’expérience pour les enfants d’être face à un couple thérapeutique.
Des psychanalystes à l’écoute des sens
Marie-France Biard et Christiane d’Olier
Numéro 54 de la Revue Psychothérapique Psychanalytique de Groupe, Juillet 2010
Résumé
Ce travail fait référence à des groupes de formation par la relaxation que propose l’AREFFS.
Les animateurs de ces groupes sont des psychanalystes qui, par des inductions verbales et tactiles, accompagnent les participants dans leur détente et favorisent la verbalisation de leurs ressentis corporels.
Que se passe-t-il pour un sujet qui se met à l’écoute de ses sensations corporelles, parmi d’autres participants, et sous le regard de trois analystes ?
Que se passe-t-il pour les analystes qui s’impliquent ainsi, psychiquement, mais aussi corporellement et verbalement ?
Nous traiterons de ces questions, en interrogeant comment les mouvements transféro-contre-transférentiels à l’œuvre vont permettre une mobilisation psychique.
Entre Mots et Toucher, le Corps en Transfert
Monique MEYER, Monique LONDICHE et Michel DREYFUS
Ouvrage paru en octobre 2005, aux éditions « La pensée sauvage »
Cet ouvrage collectif fait le récit de la naissance d’une méthode, créée il y a quarante ans par Michel Sapir, développe l’évolution de la théorie illustrée par de nombreux cas et donne à entendre l’expérience d’une équipe.
Pour les auteurs, psychanalystes formés à cette pratique, cette technique de relaxation analytique est à la fois un outil thérapeutique et un outil de formation à la fonction soignante. Avec l’évidence du pulsionnel, le poids du refoulement, la prépondérance de l’inconscient, elle met en lumière l’étroite intrication du corps et de la psyché qui prend sens et entrouvre les portes des souvenirs incarnés.
Dans un cadre strict mais ajusté aux rencontres qu’elle met en oeuvre, la relaxation psychanalytique, individuelle ou en groupe, déploie pour chaque sujet une histoire enfouie dans les anfractuositéss du corps.
La relaxation psychanalytique, méthode Sapir, est pratiquée par l’Association de Recherche, d’Etude et de Formation à la Fonction Soignante, AREFFS, fondée en 1975, devenue AREPS en 2010.
Le corps en relation
Simone COHEN-LEON
Éditions Érès 2003
Articles et ouvrages de membres d’associations amies
Dits et non-dits de l’addiction, Récits et essais sur l’expression dans la traversée de l’alcool et des addictions, sous la direction de Pierre Gaudriault, Alternative Éditoriale
Le soin psychique en réanimation, Œuvrer pour l’accompagnement psychologique des patients, des familles et des soignants, coordonné par Hélène C. Priest, Hélène Viennet, Joseph Gazengel
Technique des groupes « Balint » sur site de Psychologie Médicale
Le psychodrame-Balint, Fantastique instrument de formation à la relation médecin-malade par Philipe Fontaine
Michael Balint, le renouveau de l’école de Budapest — Michelle Moreau-Ricaud présente son livre
Hommage à Michel Sapir par Marie-Claire Célérier (le Carnet Psy n°70)
The Importance Of The Body In Balint Work : Balint Psychodrama, article de Jean-Pierre Bachmann dans le bulletin de la Fédération Internationale Balint, sur l’importance du corps dans le travail Balint à propos du psychodrame
Espace photographique, espace thérapeutique, article de François Berton dans la revue Balint roumaine
Ça va docteur ? ouvrage de John Salinsky et Paul Sackin, traduit de l’anglais par quatre médecins généralistes de la Société Médicale Balint : Françoise Auger, Michel Nicolle, Marie-Anne Puel, Louis Velluet
Les « deux têtes » du médecin, Guy Even, L’Harmattan, 2017
Revues d’associations amies
La revue Santé Mentale
Cette revue mensuelle d’information et de formation est destinée aux professionnels des soins en psychiatrie et plus largement à tous ceux qui se sentent concernés par la santé mentale. Chaque mois dans Santé Mentale, actualités et formation se conjuguent pour enrichir et valoriser vos pratiques de soins.
Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe, aux Éditions Érès
Les Quatre Temps
Revue de l’Association Internationale du Psychodrame Balint